CONTEXTE

LES ÉGARÉS
LE CONTEXTE


*

CONQUÊTE DU SYSTÈME SOLAIRE
cette conquête s'étend sur plusieurs siècles mais de manière exponentielle.

1957 :
population terrestre : 2,875,642,147 (http://www.geohive.com/earth/his_history3.aspx)
premier objet humain lancé en orbite ;
1961 :
population terrestre : 3,093,909,471(ibid)
premier homme dans l'espace ;
1971 :
population terrestre : 3,772,048,383 (ibid) + 3
première base orbitale artificielle autour de la Terre ;
2069 :
population terrestre : 9,809,408,910 (ibid) + 37
première base lunaire de recherche scientifique ;
2102 :
population : 10,131,654,196 + 761
premières bases privées sur Venus et Mars (extraction minerais);
2318 :
population : 12,104,192,003 + 650 953
suite à la mise au point de la fusion nucléaire, premières bases dans la ceintures d'astéroïdes ;
2554 :
population : 15,097,764,582 + 3 810 396
voyages et bases sur les satellites des planètes gazeuses (exploitation du méthane et des hydrocarbures de Titan, du satellite de Saturne Encelade, etc, expériences scientifiques, ruée au diamant d'Uranus,...);
3205 :
population : 15,715,953,017 + 35 741 871
bases dans la ceinture de Kuiper ;
politique d'immigration et de naissance terrienne contrôlée ; 
3890 :
population : 11,623,124,754 + 10 872 021 934
bases dans le nuage d'Oort ;






FUITE DU SYSTÈME SOLAIRE
4012 :
population : 9,843,125,951 + 12 538 943 205
face aux mauvaises gestions des ouvriers troglonautes s'étendant sur tout le nuage d'Oort et au mauvaises conditions de vie, de l'exploitation dont ils sont victimes, un groupe d'ouvriers mené par un cadre supérieur décide de rallier le centre du système avec des intentions belliqueuses. Les vaisseaux sont arrêté dès leur arrivée dans le secteur de Neptune dans ce qui sera vécu comme la première guerre dans l'espace, bien que ce n'est été qu'un événement médiatique.
4107 :
population : 9,641,613,592 + 13 738 492 328 

plusieurs autres groupes d'ouvriers troglonautes d'Oort s'enfuient du système solaire vers d'autres étoiles (Proxima Centori etc) (un plan longtemps muri à l'avance) embarquant 6 tortues d'Oort, seuls animaux existant sur Oort; fabrication discrète de vaisseaux-astéroïdes à partir de leurs habitats (propulsés à l'hydrogène (?) à vitesse 1/5ème de la vitesse lumière ; également utilisation des orbites du système solaire comme force) et départ vers de multiples directions. (chaque vaisseau dirigé par un conseil d'ouvriers d'après les règles de l'anarchie ; vaisseau en autonomie grâce au recyclage de l'eau et de déchets, etc, comme sur tous les habitats humains extra terriens) ;
4122 :
un de ces vaisseaux au cours de son trajet vers la planète Gleise 581 gamma, se retrouve dans un croisement d'ondes gravitationnelles et se trouve accidentellement propulsé dans l'hyperespace quelques parsecs plus loin instantanément ; les 1000 habitants du vaisseau passe le reste du voyage à tenter de comprendre ce phénomène. Cette distance s'effectuera en direction de l'étoile la plus proche qui revelera par chance une petite planète dans les limites de la zone d'habitabilité ;
Nourriture principale à bord : spiruline (algue se develloppant dans l'urine : Règne Bacteria, Division Cyanobacteria, Classe Cyanophyceae, Ordre Oscillatoriales, Famille Phormidiacesae) ; A l'inverse, sur les astéroïdes et planètes éloignées de la Terre, les travailleurs-cadres ont pour habitude plus luxueuse de consommer de insectes de type sauterelles, qu'ils élèves dans de petits bocaux prévus à cet effet (comme le Lepsis de Mansur Ourasanah)
4346 :
débarquement (An 1) sur la planète post-nommée Zodaxa, de 1204 individus et de 7 tortues d'Oort après un voyage de 224 ans, soit 3 générations ;



NOUVELLES CONQUÊTES

59 : 
population sur Zodaxa : 1 643
Première Équation de l'hyperespace de Limuhq Johanz ;
95 : 
population sur Zodaxa : 2 072
premier télescope en orbite  ;
113 : 
population sur Zodaxa : 2 885
premier essai d'hyperespace avec une tortue ; pas de retour de la tortue
274 : 
population sur Zodaxa : 6 082
Seconde Équation de l'hyperespace de Soj Velskoj ;
309 : 
population sur Zodaxa : 8 132
nouvel essai sans être vivant d'aller et retour dans l'hyperespace, réussie ;
317 : 
population sur Zodaxa : 8 878 
tentative avec un humain dans l'hyperespace, Gari Noryuga, réussie ;
331 : 
population sur Zodaxa : 9 211 
vols d'essais en l'hyperespace ;
389 : 
population sur Zodaxa : 10 298 + 381 sur Velskoj
Première Vague (l'Exode) d'émigration depuis la planète Zodaxa vers la planète Velskoj ;
établissement d'une colonie et d'une usine d'extraction de minerais, etc... ;
390 :
naissance de l'Administel ;
471 : 
population sur Zodaxa : 29 710 + 40 056 sur Velskoj et nouvelles planètes
Deuxième Vague (Modestie) d'émigration depuis les 12 planètes déjà explorées ;
Forte tendance à recentrer les colonies vers l'intérieur.
597 : 
population sur Zodaxa : 83 331 + 102 037 sur Velskoj et nouvelles planètes
politique de confinement et de terraformation des systèmes de l'Administel (Troisième Vague), création du Projet Régénésis.
717 : 
population sur Zodaxa : 105 619 + 374 505 sur Velskoj et nouvelles planètes
ouverture à la concurrence de certains marchés jusque là contrôlés par l'Administel, en particulier la terraformation.



note

- On n'a jamais eu de nouvelles des autres vaisseaux partis du système solaire ni de la Terre... Cependant il est très probable qu'au moins un autre vaisseau est atteint sa destination, même sans avoir pu bénéficier de l'expérience de l'hyperespace. Il y a sans doute, dans un point inconnu de la galaxie (quoiqu'il soit sans doute possible de retrouver les destinations initiales des dissidents d'Oort), une planète abritant des hommes, complètements isolés...
- Les zodaxians et leurs descendant n'évoquent pas le sujet de la Terre de leurs ancêtres... c'est un sujet tabou, qui résonne de mauvaise augure. Les Pionniers la considéraient à juste titre comme l'oppresseur (et jamais aucun d'eux n'y avaient mis les pieds, pas plus que leurs pères ou grands-mères) et depuis on ne cherche pas à renouer contact avec la Terre, physiquement ou historiquement .


L'ADMINISTEL
 
Le terme d'Adminstel désigne l'Administration Stellaire, qui est un système politico-commercial dirigée par une élite de syndicats commerciaux représentés par des élus. C'est une dérive du système anarchiste troglonaute qui régissait le vaisseau-astéroïde pionnier. Le système politique de l'Administration est très hiérarchisé et très lourd, très lent.
Le système anarchiste originel de la nouvelle planète peu à peu colonisée, puis étendu aux nouvelles destinations permises par le voyage hyperspatial a donné lieu à cette dégénérescence du système de gestion direct. Cependant la planète Zodaxa fonctionne toujours dans une grande part à la participation directe et non hiérarchisé, ce qui cause certains heurts avec l'Administel.

L'Administel gère en fait le bon transit des marchandises, le bon traitement des salariés de ses entreprises (les entreprises de l'Administel sont en fait des entreprises d'État, gérées par des syndicats), la recherche scientifique, les méthodes de colonisation des planètes nouvellement administrées, la terraformation de ces planètes, etc...

Contrairement à la conquête du système solaire, l'hyperespace a permis de coloniser directement des planètes habitables, sans passer par l'exploitation des autres planètes, astéroïdes et satellites du système de Zodaxa.

Depuis sa naissance en 390, le système de l'Administel se maintient grâce à l'expansion constante de son territoire. La colonisation, l'exploitation des ressources planétaires donnent du travail aux humains et étendent encore plus les liens avec le pouvoir, qui devient de plus en plus flou, au point que très peu de gens connaissent exactement le fonctionnement administratif de l'Administel, au point même d'ignorer où siège l'élite syndicale dirigeante.


propriété de l'Administel
propriété de l'Administel
En 525, au sein de cette élite nait la commission Brume, alors qu'un observatoire spatial vient d'identifier une fluctuation anormale dans une zone de l'espace encore vierge de l'Administel. Déduite d'après une incohérence de gravitation et de masse au sein du système Confluox, cette fluctuation invisible occupe la commission Brume durant de longues années.
Enfin, en 611, au bout de 86 années de recherches, la commission scientifique conclue à de vagues extrapolations (dont l'obscure théorie du balancier) jugées inutiles par l'Administel, qui met un terme à la commission Brume. Cependant, alors que tout le monde s'est désintéressée d'elle, un programme officieux est mis en place sur les cendres de la commission, et déduit de ces rapports que les fluctuations enregistrées proviennent soit de la manifestation d'une conscience, soit de l'entité elle-même, vivante, bien qu'incompréhensible et radicalement différente de la vie connue. Le programme Domino est né, destiné à trouver les moyens de communiquer mais surtout de domestiquer, voire de dominer cette entité vivante, afin d'exploiter ces capacités à condenser les sources d'énergie ténues de l'Espace et à distordre l'espace-temps... surtout : boltzmann brain, observateur, multivers, etc trouver mieux

Parallèlement, depuis la nouvelle politique de confinement décidé en 597, l'Administel terraforme plusieurs planètes riches intérieures qui avaient été écartées lors de la vague de colonisation hyperspatiale. La population des systèmes liés à l'Administel n'est en effet que de 200 milles hommes, répartis sur une cinquantaine de mondes, dont la planète Zodaxa qui en compte 80 mille.
Sous l'égide du protocole Régénésis, qui consiste à implanter une  biosphère schématique et cadencée sur ces planètes, l'Administel tente d'assoir son emprise politico-commerciale en favorisant une expansion intérieure.
En 716 survient un fait divers étrange. Une petite équipe de l'Administel effectuant une mission de sauvetage disparait, sur la planète X24 en voix de terraformation. L'affaire est étouffée grâce à des informations sans rapport, lancées par l'Administel pour écarter toute intrusion médiatique lors du procès des responsables. C'est notamment à cette époque (717) que l'Administel, à la grande surprise générale, ouvre à la concurrance une partie de ses activités.
propriété de l'Administel
Le Général Oswald S. Bock qui chapeautait la mission sur Visquoisa est transféré dans une unité de recherche sur une lointaine base avancée de l'Administel pendant deux ans. Il est ensuite nommé en 719 Président Directeur Général du projet Régénésis Confluox, sur la station orbitale Perséphone [x-4,3][y-15,3][z-2] succédant au Colonel-Civil Ashimov Namahobhé (Lotarich), lui aussi impliqué dans l'affaire X24 en tant que second du Général Bock. Ashimov Namahobhé (Lotarich), contraint de rester sur la station alors que des problèmes inattendus prennent l'équipage de cours, sera amené à relier des faits qui n'avaient alors aucun lien officiel ; la mission Visquosia dont il garde un arrière goût de honte le mènera à soupçonner une manipulation de la part de l'Administel, pour enfin relier l'affaire Visquosia à la commission Brume, et mettre un terme in extremis au programme Domino.
On saura après les épisodes des Champs de Perséphone, que l'Administel avait jugé opportun de faire du Général Bock un Directeur de paille pendant le déroulement des expériences du programme Domino.




note concernant la Commission Brume

Les journaux spécialisés qui traitaient des avancées des recherches de la Commission Brume publiaient régulièrement les hypothèses des scientifiques affiliés à la Commission. En 583, un article avait mit en exergue l'idée d'une transsubstantiation possible grâce à cette entité voguant dans cette partie de l'espace. Cette hypothèse qui n'eu pas de suite fut développé par le megaphysicien Quatrik Pernot qui s'interrogeait sur la qualité de cette entité. Il avait en effet entrevue avant tout le monde que ce qui sera nommé l'ESC plus tard, était un Cerveau de Boltzmann, dérivant depuis un autre univers, en fait une autre brane du multivers. Partant de cette théorie (personne ne remettait cependant en cause l'existence du multivers en branes, puisque c'était la base de la chute hyperspatiale), Quatrik Pernot avait extrapolé de manière un peu trop poussé au gout de ses collègues l'idée que l'ESC serait capable de résoudre la vielle question alchimiste ; en ayant traversé les membranes du multivers, cette matière dont elle était composée pouvait peut-être contrôler l'oscillation des plus infimes composantes de la matière dont elle était faite (comme tout corps est fait) : les cordes ouvertes. En effet, en changeant l'oscillation de ces cordes, qui forment le composé essentiel de la matière contenu dans les quarks du noyau d'un atome, vibrant de différentes manières constituent la base de la qualité de la matière. Certains ont rit de lui, et d'autres n'appréciant pas cette mauvaise presse sur la Commission et on lui demanda de la quitter.



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note concernant le voyage en hyperespace


l'Hyperchute
Introduction au Manuel de l'École Préparatoire de l'Administel, 1ère année
par Arno Lanuxz (Professeur titulaire Université L. Johanz, Zodaxa, 678) :

I. CONTEXTE D'APPLICATION PHYSIQUE DE L'HYPERCHUTE
rappels fondamentaux :
Aujourd'hui tout le monde sait qu'il existe au delà de notre univers, un univers plus vaste qui contient un nombre indéterminable d'autres univers, les darnes, flottant séparément ou qui rentrent parfois en collision. Ce vaste univers, on l'appelle le super-univers-temps (SUT) parce que l'on suppose qu'il ne possède pour lui seul qu'une seule dimension, celle du temps.
Avant l'origine de l'univers que nous connaissons comme le notre, deux des darnes flottant dans le SUT sont entrés en collision créant la singularité que l'on connait sous le nom de Twin Bang, et continuant depuis de se traverser l'un l'autre. Chaque univers possède un nombre différent de dimensions, et ils sont dit perméables entre eux, c'est pourquoi, aucun instrument objet de notre univers ne peut en sortir ; du moins normalement.
Tout ce que nous savons à propos d'autres univers ou du SUT, y compris de l'univers Frère, ainsi nommé celui qui nous traverse, est seulement théorique. La mégaphysique qui étudie ce qui est relatif au SUT et aux autres univers, est souvent une succession de postulats à n'en plus finir. Les navigateurs hyperspatiaux doivent être parfaitement familiers de ces postulats pour établir leurs calculs ; ce qui les rend extrêmement compliqués sachant que nous n'avons pas la cybernétique adéquate pour traiter des paramètres tant intangibles. Les postulats sont souvent des interprétations subjectivistes qui demande la capacité d'abstraction et l'intuition esthétique des grands mathématiciens.


Interpénétrabilité du SUT :
On a la certitude qu'il existe un couplage entre l'univers Anthropique (le notre) et l'univers Frère. Environ 90% de la masse de notre univers provient de ce couplage. Pour essayer de faire simple : le SUT est, localement là où nous sommes, comme une toile tendue en plan incliné sur laquelle nos deux univers glissent selon cette inclinaison. C'est ce qu'affirme Soj Velskoj quand il dit "En supposant que le SUT soit immobile, cela signifie que sa dimension, le temps, est pareillement la seule dimension fixe. Ce sont les univers qui se déplacent, en quelques sortes, dans le temps, comme peut se déplacer, entrainée vers le bas d'un plan incliné, une simple bille. La traversé du temps génère ainsi l'existant avec ses évènement d'espace-temps. Mais notre univers anthropique (3-brane) et l'univers Frère (7-brane) n'ont pas les mêmes dimensions, il en résulte qu'ils ne se déplacent pas pareillement selon l'inclinaison temporelle." Cette différence donne le phénomène de couplage entre l'univers anthropique et le Frère. Il se manifestent de notre coté par diverses particules instables, des particules virtuelles de type cordes ouvertes, (ou D-brane) qui apparaissent et disparaissent très subrepticement ; et qui produisent des excédants de masse et d'énergie. On suppose, mais sans pouvoir en comprendre la nature, que du coté Frère il se produit un phénomène analogue d'excédants.

II. INVENTION DE L'HYPERCHUTE
Les deux postulats de Soj Velskoj :
Le grand génie de S. Velskoj a été d'utiliser les travaux des mathématiciens sur les multi-mathématiques pour répartir les postulats contradictoires ou indéterminables. C'est un travail colossal au terme duquel apparaissent trois grands groupes de mathématiques qui permettent de calculer les tensions gravitationnelles en fonction des évènements d'espace-temps. Contrairement à son prédécesseur Limuhq Johanz qui s'évertuait à isoler un maximum de postulats indéterminables pour fonder une mathématique unique mais qui ne pouvait pas posséder la complétude de plusieurs, Velskoj choisi seulement deux postulats comme fondamentaux de ses multi-mathématiques, qui s'avérèrent justes empiriquement puisque permettant le voyage dans l'hyperespace. Le premier postulat est que le temps n'est pas traduisible en tension de corde, il est fixe et asymétrique. Le second est que deux évènements de l'espace-temps peuvent en former un troisième dans des conditions de singularité. Le second détruit le Principe d'Or, qui veut que la distance entre deux évènements de l'espace-temps est invariant, relatif au groupe de transformations ; ce qui reste toujours valable en dehors d'une singularité.
En dehors d'une singularité la cause précède toujours la conséquence, alors que dans une singularité elles peuvent être simultanée, si en plus, un troisième évènement que l'on nomme sommet à une existence probable. Si l'on imagine qu'une cause est un point A et sa conséquence un point B, alors la flèche allant de A à B représente le déplacement dans le temps. Le premier postulat signifie que l'on peut ralentir le temps de sorte qu'il soit presque stoppé. En mégaphysique ce qui se passe c'est plutôt qu'on se déplace infiniment moins vite sur la pente temporelle, de sorte que par le second postulat on peut être à trois endroits, ou plus exactement dans trois évènement d'espace-temps à la fois ; c'est une temporalité propre à la singularité, mais qui représente dans le monde réel l’instant très bref de la traversée.
Si les deux évènement A et B sont simultanés on représente le troisième évènement C au sommet d'un triangle ABC, où C permet de revenir à A sans changer le sens de la flèche. Car en effet, le temps est asymétrique et on ne peut pas aller directement de B vers A,  autrement dit revenir dans le temps. Alors C est un évènement qui est à la fois la conséquence de B et la cause de A.  Mais cela n'est possible que dans une singularité. Encore faut-il être capable de créer cet évènement C et un singularité ; mais heureusement l'évènement C et la singularité se confonde, comme on le verra.

Troisième postulat démontrable :
Il existe un pseudo postulat que l'on appelle le troisième postulat démontrable, parce que ce n'est pas un vrai postulat ; il était connu depuis les début de la mégaphysique et il permet de comprendre le rôle indispensable des ondes gravitationnelles. Il dit que trois conditions suffisent à produire de la matière exotique (instable et provenant de l'univers Frère) sans décohérence, c'est à dire stable : un champs magnétique intense, un champs de particule, est une variation forte du champs de gravitation. Ainsi, en se plaçant dans le sillage d'ondes gravitationnelles, en produisant un champ magnétique intense (que l'on nomme le bouclier B) et en y projetant un champs de neutron (qui se fabriquent par la fusion nucléaire) il se forme ce que l'on nomme une bulle-univers d'évènements.

Bullivers et singularité :
Tout ce qui est dans la bulle-univers d'évènements, la matière, l'espace et le temps, sont devenus complètement indépendants de l'univers dont la bulle provient, pour n'être plus qu'un petit univers à part entière. C'est la condition C sans quoi lorsqu'une singularité est ouverte, tout ce qui ne se trouve pas dans les conditions d'une bulle, étant lié a un univers vaste de causes et de conséquences, se trouve aspiré et dématérialisé par la singularité. Car si cette singularité est un simple trou noir, un effondrement gravitationnel dans l'univers anthropique, elle est vue en revanche dans la bulle-univers d'évènements, comme un trou de ver. Où deux évènements d'espace-temps distant : le moment du départ et le moment de l'arrivée, peuvent être simultané, grâce à un troisième évènement qu'est la bulle-univers évènements autant que la singularité (l'ouverture de la singularité se fait au sein de la bulle qui devient du même coup la singularité).
L'ouverture de la singularité se fait à l'aide d'une expulsion d'une certaine quantité d'antimatière qui réagit avec les trois composantes du troisième postulat démontrable, et c'est à ce moment précis, que le commun des mortels, les non-initiés à la mégaphysique, disent qu'ils traversent l'hyperespace instantanément jusqu'au lieu d'arrivée. L'arrivée étant  l'évènement B, simultanée de A et de C, grâce à C possible. A, B et C doivent être justes, c'est à dire possibles simultanément ; dans ce cas seulement, tout ce qui se trouve dans la bulle est en un temps infiniment petit transporté à l'autre bout de l'univers. Mais cela signifie aussi que l'on doit connaître les conditions d'arrivée, de l'évènement B, sinon, on aboutit soit en un point au hasard mais il faut beaucoup de chance, soit on aboutit au delà de notre univers quelque part dans le SUT où il n'y a probablement rien que la bulle.
Pour les physiciens et les navigateurs hyperspatiaux l'hyperespace se conçoit d'avantage comme concept d'un chemin du possible ; les calculs essentiels à sa pratique tiennent en compte les courbures de l'espace-temps et de tension gravitationnelle, du point de départ, du point d'arrivé et de l'univers qu'est la bulle-univers évènements. C'est pour cela qu'ils utilisent les groupes de transformations des trois multi-mathématiques définis par Soj Velskoj. Il décrivait le bond dans l'hyperespace de façon humoristique : "On devrait parler de chute sur l'hyperespace, car lorsqu'on chute sur les fesses, le temps dans notre esprit est exactement identique : on est à la foi encore debout, par terre et on réalise en même temps qu'on a chuté. Grâce à la théorie de l'hyperespace, on peut piéger la conscience de l'univers avec une peau de banane."

III. CONSÉQUENCES PHYSIQUES NOTABLES DE L'HYPERCHUTE
Conséquence de l'hyperchute dans l'univers anthropique (3-brane) :
Une hyperchute produit un résidu d'infra-dimensions tendant un fil ténu et imperceptible entre l'univers anthropique (fait de 3 branes, chacune valant pour une dimension et l'univers Frère (fait de 7 branes). Ces résidus de trous de ver laissés comme une trainée par le passage de la bullivers, ne sont pas perceptibles à l'echelle des 3 dimensions que nous cotoyons essentiellement parceque ce fil est fait des 7 infra-dimensions. Même si cela n'a apparemment pas d'incidence sur les propriété de l'univers que nous connaissons, il conviendrait que les prochaines recherches en megaphysique appliqué portent sur ces résidus.
note concernant les nombres premiers et les dimensions :
Notre univers comprendrait donc 11 dimensions au total.  Les 7 infra- dimensions de la théorie des cordes, les 3 dimensions spatiales classiques, l'unique dimension du temps. Tous ces nombres sont des nombres premiers (si on compte 1, normalement exclu mais parce qu'il est "trop" premier).

PRATIQUE
Pour parvenir à créer la bullivers, il est nécessaire au navigateur de bénéficier d'un réacteur tokamak produisant la fusion nucléaire (qui équipe en fait tous les vaisseaux depuis le départ du système solaire), être équipé d'un mécanisme anti-g grâce à un supra-conducteur (?! un supraconducteur à température ambiante ou pas va savoir), et de se retrouver sur une lame spécifique d'onde gravitationnelle, soit un point de croisement de ses ondes.
Entre le premier voyage hyperspatial accidentel et la mise en équation du principe théorique se seront écoulé 498 années, puis encore 38 ans pour réaliser un saut volontaire et concluant.
Le voyage en hyperespace nécessite des qualités de "marins" en ce sens qu'il faut connaitre les courants de ces ondes gravitationnelles pour les utiliser, à grand renfort de calculs, à bon escient. On ne peut faire un saut sans d'abord atteindre ses croisements gravitationnels...
Un saut dans l'hyperespace n'a pas de durée. On part d'un point A pour se retrouver instantanément à un point B.
On racompte que Limuhq Johanz a établi la Première Équation à partir d'une intuition alors qu'il contemplait son café et qu'il laissait la dernière goûte encore accrochée à sa cuillère se faire absorber par le café dans la tasse. Malheureusement cette Première Équation était erronée et donna lieu à un échec... jusqu'à ce que Soj Veskoj la corrige avec son équipe et propose la Seconde Équation se révélant exacte et propre à être appliquer dans les années suivantes avec grand succès.

note concernant le voyage dans le temps
 Soj Velskoj était convaincu que le voyage dans le temps n'était pas possible, même si sa théorie proposait de sérieuses bases de réflections à ce propos. Ainsi naquit petit à petit un groupe d'étude sur la planète Lozd-Toort qui tenta de mettre en oeuvre ce grand rêve inaccesssible. Au bout de plusieurs années de recherche, le groupe n'avait toujours pas atteint son objectif (peut-être les moyens financiers dont ils disposaient n'étaient pas suffisants). Le soir de la fête planétaire, l'un d'eux, le mégaphysicien Marq Aldorante proposa une expérience : chacun devait signer la Charte du Voyage dans le Temps qu'il avait rédigé la nuit précédente. Elle stipulait (seulement ou entre autres choses) que celui qui parviendrait à voyager dans le temps devait se faire connaitre au Centre de Recherche sur le Voyage Temporel, Lozd-Toort Capitale, quatrième rue, bâtiment n°5, Année administrative 486, troisième dédacadine, fête planètaire. A sa lecture, la dizaine de chercheur comprirent aussitôt le sarcasme. Cependant, l'un deux, Polsav Moreno déclara : "Messieurs, me voici parmis vous depuis dix ans maintenant. Je sais ce qui cloche dans nos calculs. Je reviendrai vous le dire il y a une heure." Il s'enfila son verre de vin, et tout le monde rigola.
A cette légende on peut ajouter les propos rapportés d'Etto Hernik qui déclara pour un petit journal amateur que Wald Hernik, son père, qui était l'un des chercheurs présent à cette fête, témoigna peu de temps avant de mourir à son fils que Polsav Moreno, une heure avant sa déclaration lui proposa une équation qu'il n'avait pas prit la peine de noter dans le brouhaha de la fête et du feu d'artifice qui venait de tonner dehors. Wald n'eu jamais la certitude que ces souvenirs l'avait emmener à retrouver l'exacte équation, mais surtout il n'osa pas en parler aux autres membres du groupe (qui se dissolva quelque mois plus tard). Cette fête des soissante ans de la conquète de Losd-Oort l'obsédèrent en secret tout le reste de sa vie, et la mort approchant il ne pû se résoudre à emporter son secret avec, à défaut d'avoir pû élucider le mystère. Etto cependant ne dévoilà jamais la formule, qui ne détennait peut-être pas, ou plus.


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note concernant la planète Zodaxa

Zodaxa :
numéro administratif : 000
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x-4,3][y-15,3][z-2]
circonférence orbitale :
Période de révolution : 381 j.
période synodique :
vitesse orbitale moyenne :
Périmètre équatorial :
Superficie : ... ... ... km² (0,... Terre)
Volume
: ...,..×... km³ (0,... Terre)
Masse
: ...,..×... kg (0,... Terre)
Masse volumique globale :
gravité de surface : 0,76g (?) 
Population de Zodaxa en 717 : 105 619 habitants.


le temps
Depuis le débarquement sur la planète Zodaxa en 4346 (année terrienne), on compte des années de 381 jours, d'une durée de 19h38min, soit les données de temps observables sur Zodaxa. Les années zodaxiannes légales prennent ces données réelles comme base de calculs du temps.
Cependant, une heure égale 60 minutes, qui égalent 3600 secondes, sur terre, dans le système solaire, comme sur les mondes zodaxians.
On compte les jours de manière particulière : 20 heures pour le premier jour de la semaine, et 19 heures pour le second, et ceci jusqu'à la fin de la semaine nommée "décadine" qui comprend dix jours. Au bout d'une décadine, on compte ainsi 5 fois 20h et 5 fois 19h ce qui fait 195 heures au lieu des 196 heures et 20 minutes naturelles. Ainsi le dernier jour de la décadine les zodaxians rajoutent 1h20 et obtienne une journée de 20h et 20 minutes. Ainsi, une décadine se découpe tel : 1er jour : 20h ; 2ème jour : 19h ; 3ème jour : 20h ; 4ème jour : 19h ; 5ème jour : 20h ; 6ème jour : 19h ; 7ème jour : 20h ; 8ème jour : 19h ; 9ème jour : 20h ; 10ème jour : 20h20. Traditionnellement, on ne travaille pas le dernier jour, le Vrai Jour.
le 381ème jour est ferrié et dure le temps naturel de 19 heures et 38 minutes.
On a donc 38 décadines et un jour, que divisent les deux saisons zodaxiannes en temps des tempêtes chaudes et temps du calme tiède.

Comparaison avec la Terre :
temps terrien en heures :
365,25 jours x 24 heures =  8766 heures, 10 minutes et 1,344 secondes
temps zodaxian en heures :
381 jours x 19 heures et 38 minutes = 8220 heures, 40 minutes
Une année zodaxianne compte 546 heures de moins qu'une année terrienne, soit 22 jours terriens et 6 heures de moins, soit une année zodaxianne équivaut à 343 jours terriens. En fait il y a très peu de différence avec la Terre, au bout de 16 ans terriens, on comptera 17 ans zodaxians et 10 jours. 17 ans zodaxians valant approximativement pour 16 ans terriens, on a donc 34 ans z. pour 32 ans t., 51 ans z. pour 48 ans t., 68 ans z. pour 64 ans t., 85 ans z. pour 80 ans t. etc...

Mars :
Circonférence orbitale : 1 429 038 772 km
Période de révolution : 686,9601 d (1,8808 a)
Période synodique : 779,9643 d
Vitesse orbitale moyenne
: 24,077 km/s   
Périmètre équatorial
: 21 344 km (0,5326 Terre)
Superficie
: 144 798 500 km² (0,284 Terre)
Volume
: 163,18×109 km³ (0,151 Terre)
Masse
: 641,85×1021 kg (0,107 Terre)
Masse volumique globale
: 3 933,5 ± 0,4 kg/m³
Gravité de surface
: 3,711 m/s² (0,376 g)



 le lieu
Plus chaude que la Terre, les Pionniers n'ont pas eu d'autre choix que de chercher l'eau dans les profondeurs de la planète. Par chance, plusieurs lacs furent trouvés sous la terre. La vie était possible.
La première préoccupation des zodaxians fraichement débarqués sur cette planète situé très proche de la zone de non-habilité de son soleil, fut de travailler d'arrache pied à élaborer un système d'agriculture non seulement adapté à la forte chaleur de cette petite planète mais aussi au cloisenement des lacs phréatiques. Ainsi, et cela à cause d'un taux très élevé de cyclones et de tempêtes, les pionniers ont d'abord creusé le sol de la planète pour en faire des habitations et des caves de myciculture (les champignons était la nourriture principale des ouvriers d'Oort), et d'hydroponique, puis ont adapté les lacs sous terrain à l'aquaculture, et cela jusqu'en 400. Plus tard quelques dômes à ciels ouverts ont permit la culture en serre. La spiruline qui avait nourri le vaisseau durant le long voyage depuis Oort n'est maintenant consommé qu'à de rares moments, comme les fêtes rituelles du débarquement, mais continue d'être consommée par les hyper-navigateurs.
Il n'y a pas de viande sur Zodaxa. En effet les ouvriers d'Oort n'avait absolument pas accès à cette nourriture luxueuse, de ce fait les Pionniers n'ont importé aucun cheptel dans leur bagages. On notera cependant l'existence de la tortue de l'hyperespace égarée à jamais, descendante d'une tortue du nuage d'Ort, rare animal à avoir franchi les frontières de la barrière d'astéroïde du système solaire. l'hypertortue était l'arrière petite fille de la demi-douzaine qui avait embarqué en -224, et de la génération des 15 autres vivant en 113. C'est le seul groupe d'animal terrestre (sans compter virus et microbes et autres micro-organismes véhiculé par l'homme) qui ne soit devenu zodaxian.

De 1204 individus, les Pionniers, la population zodaxianne atteint 105 619 personnes 700 ans plus tard. Ce nombre très faible tient de deux raisons : la première c'est que la planète a mené longtemps la vie rude à ses nouveaux occupants et a ainsi empêché un accroissement aisé de la population. La seconde c'est que la vague de conquête succédant à l'invention de l'hyperespace à vidé en large partie la planète de ses habitants.
Cependant, Ce petit nombre restant maintient le système politique importé par les pionniers. Les décisions sont prises sans ou avec très peu d'intermédiaire, et les zodaxians restent très investis dans la vie commune de leur planète.



Géographiquement, cette petite planète de la taille de Mars est occupé par l'homme essentiellement sur un territoire assez restreint, comprenant la capitale Liberté essentiellement construite en sous-sol, ses caves agricoles immenses alentours [et ses côtes maritimes essentiellement vouée à la culture d'algue ?], ainsi que plusieurs bourgades à vocations scientifiques ou minières.
Globalement donc, Zodaxa est encore vierge de l'invasion humaine, bien qu'on note des postes avancés sur toute la surface et que ces postes ont tendances à devenir des comptoirs commerciaux d'extraction de minerais. Les zodaxians sont tous paysans de manière plus ou moins forte.
L'aérodrome de Zodaxa est situé en lointaine banlieue de Liberté, et concentre autour de lui un assez vaste quartier scientifique.
On note plusieurs mines quasiment abandonnées depuis la conquête de la planète Velskoj, beaucoup plus riches en minerais essentiels à la construction des vaisseaux spatiaux.

Depuis longtemps maintenant, Zodaxa produit une nourriture végétarienne réputée dans les mondes zodaxians, et bien que d'origines modestes, les recettes zodaxiannes ont atteint un niveau de subtilité. Ainsi, depuis les premières conquètes et l'extensions de ses domaines cultivables, Zodaxa exporte ses denrées ainsi que ces fameux cigares à des prix élevés, lui permettant de garder un statut de puissance culturelle non négligeable vis à vis des autres mondes.

us et coutumes
L'écriture zodaxianne utilise l'alphabet latin terrien exporté mondialement et extra-mondialement jusqu'au nuage d'Oort. Les mondes terriens avait inclus à l'écriture classique des idéogrammes d'origines terriennes ou des pictogrammes dont on se servait au même titre que des graphèmes alphabétiques.
L'écriture zodaxianne s'est doté d'une particularité sans doute hérité des habitudes d'Oort, liée au sens d'écriture et de lecture. En effet, c'est en boustrophédon que se crypte la langue zodaxienne (c'est à dire qu'elle s'écrit de droite à gauche, puis de gauche à droite à la ligne suivante, et ainsi de suite). Cette pratique s'applique strictement à la planète Zodaxa et dans les textes manuscrits, mais à tendance à se perdre. On notera que les éditions traditionnelles du Torhu Govic sont cependant écrites ainsi.

Légendes
Depuis les recherches effectuées sous l'égide de l'Université Rhaz-Perez de Zodaxa sur la planète Paxviga (023) peu après sa colonisation en 523, une thèse a remise en question la véracité du trajet supposé des Pionniers. En effet, les défendeurs de cette théorie assurent avoir découvers sur Paxviga des signes tangibles de l'arrivée d'hommes sur cette planète. Cependant il ne semble pas que ces objets n'est été validés par une commission, d'ailleurs personne n'a jamais vu ces objets à part ceux qui défendent cette idée.
La trajectoire officielle perd la trace de l'hyperchute du vaisseau pionnier depuis environ 11 parsecs (36AL) vers le bord opposé au centre de la Galaxie. A la vitesse d'un cinquième de la vitesse de la lumière, le dit vaisseau était à cette distance de 11 parsecs à (36x5) 180 années de son point d'arrivée (Zodaxa). Selon l'itinéraire supposé, (qui s'établi grâce à un fait certifié qui veut que le vaisseau-astéroïde aie croisé les étoiles [x-1/y4,5/z] et [x2,5/y4,5/z] à égale distance, nous donnant un point de passage obligé en x1/y4,5/z), 15 parsecs (49AL) sont necessaires, soit la déduction d'une distance de (49x5) 245 ans du point d'arrivée Zodaxa (mais de seulement 212 ans jusqu'à Paxviga). On sait que les Pionniers ont calculés 224 ans depuis leur départ d'Oort jusqu'à leur arrivée ; donc selon la trajectoire officielle on compte 44 ans de voyage avant l'hyperchute. Dans l'autre cas il est impossible de prendre au sérieux l'hypothèse "paxvigane" car  les années ne coïncident plus... Sauf si on admet l'idée que ces 224 ans stipulent l'arrêt du compteur à Paxviga, ramenant à 12 ans le voyage pré-hyperchute, et ne comptant pas le voyage Paxviga-Zodaxa. Cela serait possible, si on trouvait des preuves indirectes corroborant par exemple que les premiers Zodaxiens ont bien noté l'an 0 douze ans avant leur débarquement sur Zodaxa. Mais personne n'a encore trouvé de calendrier de ce type. Un fait que l'on oublie souvent, c'est bien que la première date validée par les preuves est 59, avec la Première Equation de Limuhq Johanz.







*
note concernant la planète Velskoj

Velskoj :
numéro administratif : 001
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x4][y-3][z8,3]
circonférence orbitale :
Période de révolution : ... j.
période synodique :
vitesse orbitale moyenne :
Périmètre équatorial :
Superficie : ... ... ... km² (0,... Terre)
Volume
: ...,..×... km³ (0,... Terre)
Masse
: ...,..×... kg (0,... Terre)
Masse volumique globale :
gravité de surface : 1,02g (?) 
Population de Velskoj en 717 : 79 428 habitants.

le lieu
Première planète colonisée par les zodaxians en 389 (son nom vient de Soj Velskoj, inventeur de la seconde équation de l'hyperchute), elle compte en an 700 une population de 80 000 personnes. C'est sur Velskoj que l'Administel avait établi son siège. Bien que Velskoj a gardé son statut de capitale, l'Administel n'y est plus implanté de manière politique. Il y a bien sûr des établissements officiels comme sur toutes les planètes zodaxiannes, mais la véritable "table ronde" semble prendre place sur une station spatiale dont personne ne connait ni le nom ni la position, mis à part les membres de l'Elite Bureau. L'existance même de cette station n'est pas soupçonnée par les zodaxians moyens, et c'est seulement par la presse non-contrôlée que des doutes ont été émis.
La planète Velskoj tient toutefois la place centrale dans le cœur des zodaxians, symbolisant le renouveau, les perspectives d'avenir que ne parvenait pas à offrir Zodaxa et sa rudesse d'antan. Bien que spécifiquement industrielle à ses débuts, Velskoj a diversifié son économie et sa population. En effet Velskoj avait été choisie comme première destination extra-zodaxianne car elle regorge de métaux essentiels à la construction de vaisseaux spatiaux. Depuis lors, l'économie Velskojienne tourne autour de l'industrie spatiale est présente un taux d'accroissement de la population toujours plus élevé. On notera la présence croissante d'université et de centres de recherches, attirant un grand nombre de jeunes scientifiques.
Velskoj est doté d'un climat tempéré, étant située quasiment au centre de la zone d'habitabilité de son système.  

le temps
L'année naturelle de Velskoj compte 409 jours de 22 heures et 15 minutes.


*
note concernant les mondes zodaxians
On appelle "mondes zodaxians", "planètes zodaxiannes" ou encore "amas zodaxian", et plus rarement "mondes administrés" les mondes colonisés à partir de la planète Zodaxa (puis de Velskoj etc). Malgré les différentes révolutions de toutes ces planètes, c'est le marquage du temps de Zodaxa qui faisait référence jusqu'en 450, quand l'Administel décida de redéfinir les standards de temps en comptant 20h pour un jour, et 411 jours pour un an (le nombre de jour à été négocié par un délégué zodaxien afin de faire coïncider les années zodaxiannes avec les années administratives le plus possible ; ainsi l'année zodaxianne ne compte que 40 minutes en plus, et l'accord prévoyait la correction régulière de l'année administrative). On notera le temps dans les mondes zodaxians à la manière de ce temps standardisé, sans préciser nécessairement si on sous entend une année administrative puisque c'est le cas le plus souvent.
De ce fait on peut facilement se retrouver dans la pénombre nocturne à 11h administratives du matin. Ainsi les indigènes grégaires utilisent des cadrans solaires pour rythmer leur jours sur leur planète respectives...

L'Administel, terme politico-commercial, ne désigne pas les mondes que cette administration régie, il n'y a pas de territoire Administel à proprement parler. Cependant, tous les mondes y sont affiliés sans équivoque, et dépendent des décisions qu'elle prend, sauf Zodaxa qui garde son autonomie en grande partie et n'entretient finalement que peu de rapports commerciaux avec l'Administel. Peu de gens voyages sur Zodaxa.

Certains mondes zodaxians qui était situés dans une zone habitable abritait des espèces vivantes de types végétales, proto-animales, souvent très sommaires. On notera cependant que les planètes Aga Poulké, Azonia, Pickeyro, Edna, Beyolu et quelques autres hébergent une plus large variété de plantes très vivaces, voire de certains animaux notables de type poissons ou reptiles...

 Chronologie des planètes zodaxiannes colonisées par l'Administel :
Première Vague (389, Exode) : les positions sont celles de l'étoile
001 : Velskoj [x4][y-3][z8] (389, position 6,5 parsecs de Zodaxa)
002 : Fronteira [x15,6][y-1,1][z] (402, position 15 parsecs de Velskoj)
003 : Azonia [x11,5][y3][z] (408, position 12,5 parsecs de Velskoj)
004 : Soletta [x8,2][y-8,2][z] (414, position 15,1 parsecs de Velskoj)
005 : Azonia-Coralix [x11,6][y3,5][z] (420, position 0,6 parsecs d'Azonia)
006 : Aga Poulké [x13,5][y-9,9][z] (421, position 93 parsecs de Velskoj)
007 : Lozd-Toort [x-4][y-4][z] (436, position 7,3 parsecs de Zodaxa)
008 : Exalon [x12,2][y-6,6][z] (441, position 11,5 parsecs de Velskoj)
009 : Limidria [x-4][y3,7][z] (459, position 7,1 parsecs de Zodaxa)
010 : Libraxa [x-5,2][y-3,8][z] (466, position 8,4 parsecs de Zodaxa)
011 : Constenza [x1,3][y-7][z] (466, position 5,9 parsecs de Velskoj)
012 : Gloranhz [x4][y3,9][z] (469, position 9,2 parsecs de Velskoj ; à la gloire de Limuhq Joanhz)

Seconde Vague (471, Modestie) :
013 : Cercany [x13][y3,6][z] (471, position 4,5 parsecs de Velskoj)
014 : Edna [x][y][z] (473, position 7,8 parsecs de Velskoj)
015 : Soblin [x9,3][y-3,2][z] (479, position 3,7 parsecs de Cercany)
016 : Cjole Vostein [x12,1][y-7,6][z] (482, position 1,2 parsecs d'Exalon)
017 : Brev [x-3,7][y-6,9][z] (485, position 6,9 parsecs de Constenza)
018 : Quilibreiva [x6,3][y0,7][z] (489, position 5,9 parsecs de Velskoj)
019 : Mowo Lobo [x10,8][y1,5][z] (490, position 2,2 parsecs d'Azonia)
020 : Su Quaja [x][y][z] (498, position 7,8 parsecs de Velskoj)
021 : Oug Adwajl [x-2,2][y1,6][z] (511, position 3 parsecs de Limidria)
022 : Zuu [x2,5][y3,9][z] (517position 5,3 parsecs de Velskoj)
023 : Paxviga [x-1,2][y1,8][z] (523, position 2,9 parsecs de Zodaxa)
024 : Follomne [x1,5][y3,9][z] (529, position 9,4 parsecs de Velskoj)
025 : Hofdo [x-4,4][y-5,7][z] (532, position 11,3 parsecs de Velskoj)
026 : Beyolu [x6,2][y-8,9][z] (546, position 9,4 p de Velskoj ; 3 000 habitants en 690)
027 : Jissgrun [x-1,5][y-3,8][z] (546, position 7,3 parsecs de Velskoj)
028 : Aqsovd [7,5x][y2,9][z] (546, position 4,8 parsecs de Glorhanz)
029 : Tanacoretta [x-4,4][y-2,2][z] (551, position 2,9 parsecs de Libraxa)
030 : Nuzumene [x13,9][y0,5][z] (553, position 3,8 parsecs d'Azonia)
031 : Conqueiros [x14,2][y-7,3][z] (560, position 2,9 parsecsd'Exalon)
032 : Direxo [x-1,2][y4,3][z] (564, position 3,7 parsecs de Limidria)
033 : Roda [x2,5][y-9,4][z] (572, position 3,5 parsecs de Constenza)
034 : Yerranevaçyne [x2,5][y4,5][z] (576, position 2 parsecs de Glorhanz)
035 : Yolongwani [x11,8][y0,6][z] (580, position 6,8 parsecs de Velskoj)
036 : Mandon [x14,1][y-3,2][z] (580, position 5,2 parsecs d'Exalon)
037 : Simmilï [x5,5][y4,8][z] (581, position 1,1 parsecs de Glorhanz)
038 : Piqkeyro [x13,2][y0,1][z] (582, position 4,5 parsecs d'Azonia)

Troisème Vague (597, Confinement) : ["a" représente l'étoile, et "b" la première planète colonisée]
001cdefghijk : système Velskojien (597,) (10 planètes en tout)
012cdef : système Glorhanzien (616,) (5 planètes en tout) (Kamenskrozna 012f)
013cde : système Cercanien (621,) (4 planètes en tout)
011cd: système Constenzian (627,) (3 planètes en tout)
039 : Exebdone [x4,5][y-2][z...] (632, position 2,1 parsecs de Velskoj ; système banlieue de Velskoj)
027cdefg : système Jissgrunien (638,) (6 planètes en tout)
008cdefgh : système Exalonnien (651,) (Cikatela 008c) (7 planètes en tout)
040 : Volgolomene [x4,5][y-2][z] (663, position 0,5 parsecs de Velskoj ; système banlieue de Velskoj)
003cdefghi : système Azonian (697, (Joriscanne 003d (toundra), etc...) (8 planètes en tout)
022cde : système de Zuu (702,) (4 planètes en tout)
041 : Combino [x10][y-4,5][z] (717, position 3,4 parsecs de Cercany)
042 : Galametta [x-5,3][y-5,5][z1,6] (718, position 1,2 parsecs de Hofdo






On notera que le système Confluox [x-4,3][y-15,3][z-2] ne figure pas dans cette liste, ce qui est normal puisque ce système n'est pas encore terraformé en 719. Mais le plus étrange c'est que la planète Visquosia X24 n'est pas répertoriée, comme si l'Administel tenter d'effacer la trace de son existance...
(note : le nom de code X24 provient du fait qu'elle est située en x au parsec 24, et en y et z au parsec 0)

POPULATION DE L'AMAS ZODAXIAN (8 systèmes, 43 planètes naturellement habitables) :
En 717, la population totale de l'amas est de 480 124 habitants.
Population de Zodaxa : 105 619 habitants.
Population de Velskoj : 79 428 habitants.
Population de l'amas (sans Zodaxa) : 374 505 habitants.
Population de l'amas (sans Velskoj) :  400 696 habitants.
Population de l'amas (sans Zodaxa ni Velskoj) : 295 077 habitants.
Population Totale moyenne de l'amas : 9 602 habitants/système.
Population moyenne de l'amas (sans Zodaxa) : 7 490 habitants/système.
Population moyenne de l'amas (sans Zodaxa ni Velskoj) : 6 022 habitants/système.
Population de Beyolu : 2 893 habitants.
Employés sur Perséphone de 717 à 719 : 249 personnes.


*
quelques planètes zodaxiannes

Kamenskrozna :
numéro administratif : 012f système Glorhanzien 
colonisée en 629 (Confinement)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x4][y3,9][z]
Population de Kamenskrozna en 717 : 501
Kamenskrozna est une planète arride, peu peuplée dont les seuls attraits sont les minerais. Le soleil sur cette planète est excessivement dangereux pour l'homme, car Kamenskrozna ne dispose pas d'une danse atmosphère et les rayons ultraviolets traverses aisément la mine couche d'ozone. Malgré cela, les ouvriers ne sont logés que dans des batisses de briques et ne sont à l'abris que par de pauvres volets faits en conglomérats secs d'une des rares archéobactéries procaryotes indigènes parvenant à évoluer sous ce climat. De plus de puissantes tornades ravagent régulièrement ce paysage de poussière. D'autres micro organismes peuplent également cette planète, comme une forme de deinococcus radiodurans.

Lozd-Toort ( ou Loozdoort) :
numéro administratif : 007
colonisée en 436 (Exode)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x-4][y-4][z]
Population de Lozd-Toort en 717 : 9 643
Lozd-Toort a été colonisée très tôt depuis Zodaxa. De ce fait, elle garde des habitudes zodaxiannes et revendique cet héritage. Lozd-Toort est dotée d'un climat particulièrement propice à l'éspèce des tortues d'Oort, c'est pourquoi son nom fait hommage à l' hypertortue perdue lors du premier voyage raté. Depuis que les tortues se sont reproduite avec aisance, cet animal est devenu le symbole de la planète.
Sur Lozd-Toort, on consomme particulièrement des insectes indigènes grillés, très épicés, plat qui est aussi très apprécié des tortues.

Velskoj c (ou Cleil) :
numéro administratif : 001c
colonisée en 610 (Confinement)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x4][y-3][z8]
Population en 717 : 
Comme son nom l'indique, c'est une planète du système velskojien.

Beyolu :
numéro administratif : 026
colonisée en 546 (Modestie)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x6,2][y-8,9][z]
Population de Beyolu en 717 : 2 893 habitants. 3 000 habitants en 690

La planète Beyolu est située assez loin du centre de l'amas, et notemment par ce fait n'est que très peu peuplée. La jungle artificielle recouvre la plus grande partie de cette planète qui contait déjà quelques espèces vivantes végétales et animales, comme le singe ailé, qui s'est particulièrement adapté à la profusion nouvelle de grands arbres.
Il n'y a que des petits villages sur cette planète, tous assez éloignés les uns des autres, et regroupés autour des antennes de l'Administel.
Sur Beyolu, on vit paisiblement, loin des autres planètes centrales. Il y eut néamoins une uzine de l'Administel destinée à synthétiser à partir de végétaux un nutriment protéinique qui brûla au début des années 700 sans que l'Administel ne decida de la reconstruire. On note aussi l'existance d'une branche de l'université de Velskoj (comme cela se fait sur les planètes éloignées) qui dispense quelques cours. L'école Préparatoire de l'Administel ainsi dicéminée sur l'amas, prépare les étudiants à rejoindre ses rangs.

Azonia-Coralix :
numéro administratif : 005
colonisée en 420 (Exode)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x11,6][y3,5][z]
Population d'Azonia-Coralix en 717 : 
Douze ans après la colonisation d'Azonia, les nouveaux Azonians prirent la peine d'établir un comptoir sur une planète toute proche de leur système. En effet Azonia-Coralix, était une planète magnifique ne necessitant aucune modification Regenesis, car la température pourtant élevée était aténuée par une forêt ombragée où ruissellaient des milliards de cours d'eau.
Peu à Peu, Azonia-Coralix est devenue une destination touristique majeure, très convoitée par la population aisée de l'amas.
Depuis 497, l'établissement de studios de cinex-cinax contribua particulièrement à l'attrait de cette planète. Le cinex-cinax, forme de divertissement dérivée de la télésurveillance, diffuse dans ses débuts des situations enregistrées lors de fêtes et anecdotes survenues dans les hotels de la planète, remontées, parfois truquées, pour devenir peu à peu une forme de création pure où l'on cherche moins à faire croire à la véracité des faits, et où le spectateur n'est plus essentiellement assimilé au voyeur retranché derrière les historiques télévisio fixes, qui deviennent mouvantes et peuvent même prendre la place des figures des fictions elles-mêmes.

Aga Poulké :
numéro administratif : 006
colonisée en 421 (Exode)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x13,5][y-9,9][z]
Population de Aga Poulké en 717 :
Aga Poulké est une planète agricole, particulièrement connue depuis peu pour son pois gâté, moisissure mise au point par les paysans de cette planète. La particularité de ce pois est que, une fois consommé, continue de fermenter dans l'estomac, et parvient à octroyer à son utilisateur des effets hallucinogènes notoires.

Oug Adwajl :
numéro administratif : 021
colonisée en  511 (Modestie)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x-2,2][y1,6][z]
Population en 717 :

Soletta :
numéro administratif : 004
colonisée en  414 (Exode)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x8,2][y-8,2][z]
Population en 717 :

Fronteira :
numéro administratif : 002
colonisée en  402 (Exode)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x15,6][y-1,1][z]
Population en 717 :

Cjolemotsein (ou Cjole Vostein) :
numéro administratif : 016
colonisée en  482 (Modestie)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x12,1][y-7,6][z]
Population en 717 :

Aqsovd :
numéro administratif : 028
colonisée en  546 (Modestie)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [7,5x][y2,9][z]
Population en 717 :
Aqsovd est une planète immergée, où passent huit saisons, du temps calme et paisible à la saison des cyclones et tsunamis gigantesques.

Soblin :
numéro administratif : 015
colonisée en  479 (Modestie)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x9,3][y-3,2][z]
Population en 717 :

Exalon :
numéro administratif : 008
colonisée en  411 (Exode)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x12,2][y-6,6][z]
Population en 717 :
L'Auditorium d'Exalon est très connu des zodaxians. On y montre des virtuoses du chant, seul ou en groupe vocal, et parfois accompagné d'un instrument. L'auditorium est construit de telle manière qu'il n'y a pas besoin de technologie supplémentaire pour atteindre le fort volume sonore.

Cikatela :
numéro administratif : 008c
colonisée en  651 (Confinement)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x12,2][y-6,6][z]
Population en 717 : 104
Colonie au climat très chaud.

Combino :
numéro administratif : 041
colonisée en 717 (Confinement)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x10][y-4,5][z]
Population en 717 : 0
La planète Combino est une des peu nombreuses mais tout de même existantes exceptions liées au Confinement. Le climat est brulant, et ce par la particularité tellurique de la croute terrestre qui est chauffée en permance par de nombreux geisers de feu. Cependant et peut être grâce à cela, le projet Regenesis a réussi à très bien s'implanter.

X24 (Visquosia) :
numéro administratif : Non
colonisée en 717 (Confinement)
position cosmographique dans l'amas zodaxian : [x24][y0][z0]
Population en 717 : 0
Cette planète n'est pas officielement colonisée par l'administel, notemment parceque les premiers pas se sont très mal passé, et qu'on soupçonne l'Administel d'avoir voulu étouffer l'affaire sans qu'elle y soit réellement parvenu, bien que peu de gens se souvienne de ces évenements.
Bien que son atmosphère soit respirable, Visquosia est très hostile à l'homme. Le sol de toute la surface est visqueux et mouvant, l'air est moite, et on a noté un champs magnétique particulier perturbant les messages radios (c'est en partie la cause de l'echec de la première mission puis de celle de sauvetage).


*
 note concernant le Torhu Govic
Le Tohru Govic est un ensemble de textes poetiques dont le nom provient simplement de son auteur présumé. Ces textes narrent l'exploration spatiale, mais on ne saurait être sûr de sa datation. C'est le texte fondammental de la culture zodaxianne.
Certains estiment l'origine du Torhu Govic au temps du Grand Voyage à bord du vaisseau-astéroïde des Troglonautes (dont la dernière génération deviendra celle des Pionniers), alors que d'autres pensent qu'il fût rédigé bien avant, lors de la conquète du système solaire, et même peut-être plus avant encore. Ce qui est admis par la plus part des gens c'est que c'est un texte mythique et métaphotique (les rares autres, habitant souvent des zones reculées ou l'Administel n'a pas de filiaire d'éducation, considèrent le texte comme une vérité au mot à mot).
Les éditions traditionnelles sont écrites en boustrophédon (mode d'écriture des Troglonautes).

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 note concernant le materiel & objets spéciaux

► L'hypercom est le moyen de communiquer entre plusieurs planète. Ce système utilise les terminaux d'extracom, et les infrafils tirés par les voyages en hyperchute.
► Le cinex-cinax est une forme de divertissement essantiellement produit sur Azonia-Coralix, dérivant de la télésurveillance.
► Le mémex est un module de stockage d'information et de cheminement. Il se compose d'un bureau et de bobines magnétiques, qui peuvent se transporter, se copier. Les recherches s'effectuent par mots clés, et il est possible de retrouver le fil d'une recherche anterieure.
► Les infoflex sont des supports d'informations évolutifs. Ils sont souples et peuvent notemment afficher le journal.
► Le système 7 est le programme informatique chapotant les sous programmes de la station Perséphone. C'est un programme à destinée commerciale, c'est à dire qu'il a été produit par une entreprise privée. Il se gère via des terminaux spécifiques, notamment par un coorlinateur à cristaux antistase. Il faut un grand niveau pour le maitriser. Ce coorlinateur s'utilise grâce à deux bacs antistase que l'on touche avec ses doigts, tandis que le cerveau de l'utilisateur relié à un casque permet de visualiser son architecture.
► Le régénérateurs de transmission sont les appareils nécessaires lors d'une terraformation. Ils sont primordiaux dans l'établissement du protocole Regenesis. Après que des sondes aient cadrillé une planète et défini les points propice à leur positionnement, les régénérateurs sont disposés par des mission humaine. Ainsi, ils permettent à la planète d'aquérir une magnétosphère viable et propice à l'établissement des premières formes de vies euchariotes et végétales.
► vocabulaire récurant dans "Les Champs..." :
disquette, bobine, bloc mémoire, bloc vidéo : pour parler des supports d'informations ;
écran, terminal, terminal de requète : écrans ;
unité centrale : système 7 ;
computeur, coordinateur, coorlinateur, didactylog : poste d'ordinateur ;
Gravitek, Perlenbacher, Trilogic 500, unité 38, 39 etc, gants anti rads, turbines, etc... : matériel du balcon technique (niveau 13) ;
pont exterieur, passerelle interieure : points d'accès à la station depuis un autre vaisseau ;
mat de liaison, pilier central, mat de jonction : 900m d'ascensseur qui séparent les deux modules de la station orbitale.


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LES EGARES
Melchior Mercure
Julher Nibreh - Melchior Mercure
Mickey Kosmos 
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le concept d'hyperchute est dévellopé par Arnaud Lanusse 
cartes créées par Autografic 
poèmes sités dans Les Champs de Perséphone : Saül Shao Gaël
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certains éléments scénaristiques des Champs de Perséphone ont été apporté
par Simon Kansara, Lucie Saint Jean, Hugo Lassalle, Gaëlle Loth.